~ NOUVEAUTÉS ~

Voici les dernières acquisitions pour notre bibliothèque (à Vienne)

… Et malgré tout, l’amour du Rhône
Oui, c’est bien le sentiment qui transparaît entre chacune des lignes de ce livre. Jean, qui est né et vit au bord du Rhône, est totalement imprégné de cet amour. Pour pouvoir vivre auprès de son grand « ami », il a remis son travail en question en s’installant sur un lieu condamné à terme et en y développant une autre forme d’agriculture, comme un défi lancé à son temps. Ils sont nombreux, comme lui, à être les gardiens des traditions de l’ancienne batellerie hâlée : c’est le monde passionné des sociétés de sauvetage, trop peu connu mais ô combien passionnant. Il vous fait découvrir l’envers du décor des courses de barques, avec des sportifs un peu fous, sur un fleuve qui ne l’est pas moins. Puis Jean assiste, impuissant, à la destruction inéluctable d’un environnement qui arrache en même temps que les « vorgines » les tripes des riverains. C’est la fin du « Fleuve Roi » et la naissance d’un canal à l’utilité contestée. Beaucoup de poésie et de sensibilité permettront aux lecteurs de découvrir ou de retrouver les mille aspects de ce Rhône qui fut si beau et le reste encore à bien des égards mais d’une façon très différente…

À l’aube de la Révolution française, Félicien Gabert, un chef marinier sur le Rhône respecté, recueille la jeune Alice, parvenue à s’enfuir du moulin à eau où elle était exploitée depuis plus de dix ans. En descize de Lyon jusqu’à la foire de Beaucaire, adoptée par les membres de la famille aimante du patron Gabert, elle recouvre peu à peu la santé, s’épanouit au contact de la vie libre et rude des mariniers et son talent artistique de dessinatrice et caricaturiste peut enfin éclore, la projetant en quelques semaines de l’ombre à la lumière. C’est à une fabuleuse plongée dans l’univers des mariniers du Rhône au XVIIIe siècle que nous invite Henri Montabonnet dans ce roman qui mêle sentiments, intrigues, petite et grande histoire.

Enfants abandonnés, enfants sans père
Myriam Provence
La convention internationale relative aux droits de l’enfant reconnaît à chacun, « dans la mesure du possible, le droit de connaître ses deux parents » et la France admet dans le code de l’action sociale et des familles « l’importance pour toute personne de connaître ses origines et son histoire ». Mais la pratique est loin de la théorie. L’abandon anonyme ou le silence du seul parent connu bloquent en général l’accès à la vérité. Ce secret mal vécu est source de mal-être sur une, deux, voire trois générations. Plus loin dans le temps, ces filiations ou ces fratries brisées posent simplement des énigmes généalogiques irritantes, qu’on ne sait pas toujours comment résoudre. Spécialiste de ce thème, Myriam Provence livre ici tous ses conseils de recherche. Avec réalisme bien sûr car il n’est pas toujours possible de retrouver les filiations manquantes. Mais avec optimisme car sa connaissance des fonds d’archives et des arcanes de l’Assistance publique lui permet d’exploiter tous les indices à disposition. Si les langues ne veulent pas se dénouer, lever le secret se fait pas à pas, document après document. Cette nouvelle édition, riche d’une vingtaine de pages supplémentaires, livre des pistes nouvelles sur les maisons maternelles, les sages-femmes et les nourrices, sur les déclarations de grossesse qui existent encore au XIXe siècle alors qu’on les croit disparues puisqu’elles n’ont plus d’existence légale, sur le placement des enfants assistés y compris en Algérie, sur les pistes offertes par les tests ADN, sur les dossiers judiciaires liés aux désaveux de paternité, etc. À vous ensuite de vous transformer en enquêteur et de ramener à la lumière les secrets d’hier.
96 pages

Orphelins, pupilles de la nation, adultes sous tutelle – Nouvelle édition 2022
Marie-Odile Mergnac
Quel est le lien entre les orphelins, les pupilles de la nation et les adultes mis sous tutelle ? Précisément les tutelles, avec l’ensemble des documents d’archives qui en découlent : les multiples conseils de famille, avant comme après la Révolution, les adoptions d’adultes avant 1921, les décisions judiciaires, les registres des orphelinats ou des hôpitaux, les comptes que les tuteurs devaient établir, les aides de l’État… On ne se plonge pas dans ce livre pour retrouver une ou deux générations manquantes ; on l’utilise pour retrouver des parcours de vie, parfois bien douloureux. Qui n’a pas, dans son arbre, quelques pupilles de la nation, un statut créé en 1917 pour les enfants des morts pour la France et qui permet de retrouver des informations familiales et les parcours scolaires. En dehors des guerres, les orphelins étaient nombreux car l’espérance de vie n’était pas très longue autrefois. Que devenaient les enfants ? Quelles étaient les décisions des conseils de famille et le bilan des comptes de tutelle, qui vous permettent de confirmer une légende familiale ou de rendre justice à un tuteur décrié. Car la littérature et les légendes familiales abondent en récits bien noirs sur les tuteurs : ils auraient tous les défauts, pillant les biens des enfants ou des adultes placés sous leur autorité pour les laisser sans fortune. Vrai ? Faux ? Répondre à cette question ne peut que tenter l’historien des familles. Enfin, la mise sous tutelle des adultes, aussi bien des jeunes fils débauchés et dépensiers que des malades ou des vieillards, existe aussi depuis des siècles ; les archives judiciaires les concernant sont d’une incroyable richesse, des vies entières y sont reconstituées ! Ce guide indique les démarches à suivre pas à pas en archives, pour toutes les catégories de tutelle : les orphelins sous tutelle familiale, les pupilles de la nation, les enfants retirés à leurs parents, les adultes mis sous tutelle à la demande de leurs proches. Pour en finir avec certains secrets de famille…
80 pages

Mille et une manières de faire de la généalogie avec les enfants
Évelyne Duret, Yannick Doladille
La généalogie est désormais au programme de l’Éducation nationale, des classes de maternelle jusqu’en 6e. Activité culturelle et pluridisciplinaire par nature, elle permet d’aborder l’histoire ou la découverte du temps mais aussi les mathématiques, la géographie, le français… Elle peut avoir une place de choix en tant qu’activité ludo-éducative, d’éveil, de découverte, d’exploration. Par ailleurs, la pratique généalogique avec le jeune public favorise le « vivre ensemble » à tous les niveaux. Elle encourage les liens interfamiliaux et intergénérationnels et la prise de conscience du patrimoine dont nous sommes porteurs. Elle développe l’entraide et les liens de partenariat avec les services d’archives, les bibliothèques, les associations, etc. Elle permet une mise en œuvre concrète de plusieurs grands principes constitutifs de la République française : égalité de valeur des origines, droits à l’identité et à la nationalité, fraternité et entraide pendant les recherches généalogiques, liberté de connaître ses origines à conjuguer avec le droit au respect de la vie privée, accès aux archives… Mais, concrètement, comment organiser de façon pratique des activités généalogiques avec les enfants ? Lesquelles peut-on leur proposer ? Comment créer des supports adaptés… ? Deux enseignants précurseurs partagent ici des années d’expériences d’activités généalogiques en milieu scolaire.
112 pages

Faire de la généalogie avec les jeunes
Évelyne Duret, Yannick Doladille
« Moi, M’dame, j’veux savoir d’où j’viens », répond Gabriel, treize ans, au professeur lui demandant pourquoi il venait au club de généalogie de son établissement scolaire. La journée internationale des droits de l’enfant et l’Unicef affirment aussi que la connaissance des origines est constructive pour les jeunes. La généalogie, qui favorise le « vivre ensemble » à tous les niveaux, est par ailleurs une activité au fort potentiel éducatif (histoire, géographie, littérature, langues, organisation d’un travail en groupe ou individuel…). Cet ouvrage, pratique et concret, donne tous les outils pour faire de la généalogie avec des adolescents, au collège ou au lycée, dans les établissements scolaires, en classe, en groupe, en option ou en dehors du cadre scolaire, dans les services d’archives municipales, départementales ou nationales, dans les bibliothèques, les médiathèques, les musées… Il fournit de nombreux exemples concrets d’activités généalogiques déjà réalisées donc déjà testées – ce qui veut dire faisables, reproductibles, transposables et adaptables. Il permet d’éviter les écueils les plus courants sur lesquels peuvent buter les encadrants accompagnateurs. Source d’inspiration, il offre des pistes vers d’autres ateliers généalogiques à inventer et n’oublie pas de faire référence au cadre pédagogique légal. Deux enseignants précurseurs partagent ici des années d’expériences et de partages d’activités généalogiques en milieu scolaire.
80 pages

La généalogie en s’amusant
Marie-Odile Mergnac, Mathilde Morin
C’est l’oeuvre de deux spécialistes de la vulgarisation de la généalogie, l’une que l’on ne présente plus, étant la prolifique auteure et éditrice de « Archives & Culture », et l’autre, qui n’est autre que sa fille et qui s’est déjà fait remarquer par ses intéressantes initiatives de youtubeuse. Marie-Odile Mergnac et Mathilde Morin, appartenant donc à deux générations différentes, ont conçu ce livre original avec, pour projet, de présenter la généalogie, en 200 pages et 200 dessins, en la dépoussiérant. Ne donnant pas d’exemples pratiques de recherches, il n’aidera pas forcément le débutant. En revanche, en inventoriant et présentant les sources d’informations, les documents d’archives, les sites généalogiques…, il se révèlera toujours intéressant et parfois très pointu, allant jusqu’à révéler des sources quasi inconnues, comme les surprenants registres de justification de l’époque révolutionnaire, en série L des Archives départementales. Les familles comme les personnes ou les pays ont connu leurs aléas, leurs secrets, leurs drames, leurs heures de gloire ou leurs petites surprises. Devenez, par la généalogie, un enquêteur des siècles et l’auteur d’une saga familiale souvent plus incroyable que les meilleurs romans. Car, comme le disait Françoise Sagan, « on ne sait jamais ce que le passé nous réserve » ! Et tout cela, en effet, « en s’amusant » : un pari gagné et un livre à connaître, d’un excellent rapport qualité-prix.
208 pages

Retrouvez et identifiez toutes vos photos de famille
Tony Neulat
Ne vous méprenez pas ! Il ne s’agit pas d’un livre de plus expliquant comment dater vos photographies de famille. Certes ce livre, qui se veut un guide complet, redonne la méthode mais son but est en réalité tout autre : vous expliquer comment trouver des photographies de famille. À trouver celles qui vous manquent, celles que vous n’avez pas, comme s’est attaché à le faire Tony Neulat lui-même qui, tout passionné de généalogie qu’il soit, n’avait pas eu la chance d’en posséder. Fort de son expérience, l’auteur explique comment en retrouver dans la parenté et comment en rechercher sur internet – avec un beau panorama des ressources en ligne – ainsi que dans les dépôts d’archives avec, là aussi, un véritable guide dans un guide, offrant un inventaire complet détaillé des dépôts d’archives publiques, où l’on peut mener des recherches (police, Ofpra, anciens combattants, dossiers professionnels des cheminots, employés des postes, fonctionnaires, etc.). Très bien conçu et rédigé, par un excellent chercheur-auteur qui a le sens de la formule et de l’enseignement, ce livre fourmille d’idées et de méthodes, donnant notamment la place des personnages sur les photographies de mariage et proposant des méthodes de reconnaissance d’un visage au fil des âges.
112 pages

Utiliser le cadastre en généalogie Marie-Odile Mergnac En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu’il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d’achat ou de revente… Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d’acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ? Le cadastre offre une vue synthétique qui s’inscrit dans la durée, à l’inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels. Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C’est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l’histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez ou qu’elle a appartenu à un aïeul. Car il vous la montre sur deux plans à plus d’un siècle d’écart et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications. Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d’informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires et d’obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d’habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille. Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930. 80 pages

Le tramway Vienne-Charavines, HS « Mémoires estrablinoises », association Estrablin historique
La ligne de Vienne à Charavines (et Voiron) est une ancienne ligne de tramway du réseau Isère des Chemins de fer économiques du Nord (CEN), mise en service progressivement entre 1891 et 1893 (à l’exception de la section Voiron-Ville/Voiron-Gare PLM, ouverte en 1900), après quatre décennies de pourparlers et d’études, et construite à l’écartement métrique. Pour l’industrie touristique naissante, cette ligne CEN de Vienne à Charavines puis à Voiron représentait un intérêt considérable : l’accès de la vallée du Rhône à Charavines-les-Bains et à la Grande Chartreuse tout près de Voiron. Mais plus important sans doute pour l’économie, le désenclavement d’une multitude d’usines, petites et grandes, dans la plupart des villages de la campagne. Bénéficiaire jusqu’en 1914, la ligne, de plus en plus déficitaire par la suite, est fermée au trafic voyageurs en 1933 puis à tout trafic en 1936.
Réalisée à partir de documents d’archives et de pièces issues de collections privées, Le tramway Vienne-Charavines est la chronique d’une réalisation qui changea profondément la vie des populations locales pendant près d’un demi-siècle. Organisée en onze chapitres indépendants, construits de façon à permettre aux lecteurs de mieux se situer dans cette période qui va de 1846 à janvier 1937, l’ouvrage contient 8 cartes, 60 documents d’archives, 85 cartes postales ainsi qu’un index de 300 patronymes.

Revue : « Mémoires estrablinoises », association Estrablin historique
Depuis le printemps 2024, nous comptons une nouvelle venue dans la liste des revues archivées au sein du CGVVR. En effet, au terme d’une fructueuse rencontre avec des responsables de l’association Estrablin historique, nous serons désormais dépositaires de la revue qu’ils publient plusieurs fois par an. De notre côté, nous leur transmettrons en retour notre revue annuelle ainsi que les publications que nous éditons. Vous pourrez ainsi désormais, en tant qu’adhérents du CGVVR, la retrouver (et l’emprunter pour consultation) dans les rayons de nos armoires aux côtés de beaucoup d’autres comme, par exemple, le bulletin des Amis de Vienne entre autres.

“Le Couvent des Minimes à Roussillon”, Petit fascicule d’une quinzaine de pages qui retrace l’histoire des Minimes (Ermites de Saint François d’Assise), ordre religieux mineur, mais aussi du couvent où ils étaient à Roussillon jusqu’à nos jours.

Livret rédigé et édité par l’Association de l’Édit de Roussillon

“Ma Gastronomie – Fernand Point”, dernière édition 2022 de l’ouvrage publié pour la 1ère fois en 1969 par Marie-Louise Point.

Ce livre culte contient : des notes du fameux chef Fernand Point, triple étoilé dès 1933 avec son restaurant “La Pyramide” à Vienne, 200 recettes dont celle du gratin de queues d’écrevisses, des anecdotes, des gravures et des extraits du livre d’or remarquable, dédicacé par des célébrités du monde entier.

Nous remercions vivement le chef Patrick Henriroux, dirigeant La Pyramide depuis 1989 de nous avoir offert et dédicacé l’ouvrage.

Galoche ou Tacot du Jarez aux balcons du pilat

“GALOCHE ou TACOT”, Du Jarez aux Balcons du Pilat

Retrouvez l’Histoire d’un petit train de campagne réalisant la liaison entre : St Héand, St Etienne, Sorbiers, St Chamond, La Grand Croix, La Terasse, Pavezin, Pélussin et Maclas

Par Thierry CUMIN

“Généalogie de 32 célébrités du Rhône”

Voici le 1er tome de la généalogie de 32 célébrités du Rhône telles que : L’Abbé Pierre, Bernard PIVOT ou encore André Marie AMPERE…

Rédigé et édité par la Société généalogique du Rhône et du Beaujolais

“Généalogie de 30 célébrités du Rhône et de la métropole de Lyon”

Suite au tome précédent, voici 2ème tome de la généalogie de 30 célébrités du Rhône, dans ce livre, nous retrouvons, entre autres : Antoine de Saint EXUPERY, Anne SYLVESTRE, Paul BOCUSE ou encore Charles MERIEUX…

Rédigé et édité par la Société généalogique du Rhône et du Beaujolais

“Origines Ardéchoises – Patronymes Ardéchois”

Un document rédigé et édité par les membres de la SAGA (Société des Amateurs de Généalogie de l’Ardèche)

Une nouvelle édition qui regroupe maintenant 31742 patronymes ardéchois.

Document édité en 2001 qui vient d’entrer dans notre bibliothèque.

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